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_bbr.
_d13,50 EUR
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200 1 _aLes chants anonymes
_epartition
_fPhilippe Malone
_bLIVR
214 0 _aLes Matelles
_cÉditions Espaces 34
_dDL 2021
214 3 _a37-Monts
_cImpr. Présence graphique
215 _a1 vol. (58 p.)
_d21 cm
225 _aCollection hors cadre
330 _aL'ombre de la Méditerranée plane sur ce poème symphonique, une Méditerranée actuelle mais aussi projetée dans 650 000 ans lorsque l'eau, l'eau de tous les dangers, aura disparu. Un chœur d'exilées rapporte la traversée, celle de l'eau jusqu'à l'aspiration dans les profondeurs, celle de la langue, perdue, celle de l'identité, gommée. Quand la narratrice prend la parole, elle conte l'exil et l'accueil, les langues qui se traversent. Ce sont celles du chœur, réminiscences inaliénables, mais aussi la langue de l'administration, des préjugés, de la loi et de l'hostilité, qui se fait de plus en plus présente. Mais la narratrice ne porte-t-elle pas aussi une langue de l'exil intérieur ? Quelle main peut se tendre entre celles-ceux d'un même territoire ? Comment, alors que l'on a été dépossédé de tout ce qui fait notre humanité, peut-on inventer une langue commune ? Un magnifique chant-hommage qui explore poétiquement le politique.
_2éditeur
410 0 _046951551
_tCollection Hors cadre (Les Matelles)
_x2822-7336
_d2021
686 _a802
_2Classif. BNF
700 _aMalone
_bPhilippe
_f1968-....
_313570699
_4070
_6Auteur
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_c20210511
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