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200 1 _aLendemain
_efeuilleton théâtral
_fJoseph Danan
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210 _a[Montpellier]
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_dDL 2016
215 _a1 vol. (315 p.)
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330 _aL'histoire commence toujours après la fin : on le sait bien. C'est donc au lendemain que commence la pièce : lendemain de fête et de liesse, 13 juillet 1998, un pays célèbre une victoire sportive comme jadis une conquête militaire, dans l'illusion d'une union qu'on prétend sacrée. Sadwell Hall, lui, a choisi cette nuit pour disparaître. On est le lendemain de ce mystère autour duquel s'agrègent les énigmes, et d'abord celle-ci : qui est-il ? On sait seulement qu'il a disparu, et cela suffit pour commencer l'histoire. Lendemain s'ouvre comme une enquête policière, mais c'est une fausse piste - c'est d'autres disparitions qui surtout ouvriront la pièce en mille directions. Les repères se brouillent, et ce décor de récit policier se révèle bientôt pour ce qu'il est : un décor pour des figures en attente d'une histoire, des ombres pleines de nous-mêmes, tout un théâtre qui se replie sur notre présent. Dans cette course ample à travers les deux dernières décennies, Joseph Danan dessine une généalogie de nos secousses présentes, ces terreurs et ces joies qui signent notre appartenance à ces jours, où les Coupes du Monde de football sont nos événements historiques, qui scandent désormais notre rapport au temps presque autant que des attentats : où depuis vingt ans, rien ne semble avoir eu lieu que cette imminence dont le texte porte la charge et qu'il accomplit. Et dans l'écriture qui vient porter le fer aux conventions, sociales, politiques, théâtrales, une manière à la fois de s'affronter au présent, et un geste qui voudrait déborder notre époque par elle-même. Puis dans ce geste, on entend ce qui sourd, est latent, tacite, un soulèvement possible (et face au refus de faire « miroiter les différentes facettes du cauchemar », une façon de le dévisager, de lui faire face, aussi). « Toujours nous serons les habitants de ce lendemain / inhabitable », dit l'Auteur dans la cinquième partie de la pièce - peut-être faut-il le croire, et venir peupler ce qui se lève autour de
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