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Pièces courtes, 3 / Daniel Keene ; traduit de l'anglais (Australie) par Séverine Magois

Niveau de l'ensemble: Pièces courtes / Daniel Keene, 3, 13561Auteur principal: Keene, Daniel, 1955-...., AuteurAuteur secondaire: Magois, Séverine, TraducteurLangue : français ; de l'oeuvre originale, anglais.Pays : France.Description : 1 vol. (283 p.)ISBN : 978-2-84260-744-9.Collection: Répertoire contemporain, 1760-2947Dewey : 822.914 (oeuvre)Résumé : Avec ce troisième volume de pièces courtes, Daniel Keene nous invite à pousser la porte de son cabinet de curiosités. Il nous livre de monstrueux spécimens façonnés par une société cruelle, où la misère côtoie le sublime. L'urgence est avant tout de (se) raconter: à travers les monologues, les dialogues ou les récits, se devine la profonde solitude de femmes et d'hommes en marge. Peu de place ici pour la sensiblerie: la parole se gagne et se perd, les échanges se font à couteaux tirés. L'auteur fait éclater, sous le vernis social des apparences, les bas instincts et la violence animale de personnages tourmentés. Au cœur de cette clameur humaine, résonne le discours engagé - et parfois amusé - d'un dramaturge qui se joue de la langue sans jamais nous lasser..
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Livre Théâtre Joliette TH KEE (Browse shelf(Opens below)) 1 Checked out 12.02.2025 JOL-002419

Réunit : "Chère Juliette" ; "La visiteuse" ; "Un café, une table (trois conversations) " ; "Une mort" ; "Je dis je" ; "Dernier rivage" ; "Le prisonnier et son gardien" ; "Tout au long de la nuit" ; "Ali" ; "Les paroles" ; "Photographies de A" ; "Trois hommes dans une bouteille" ; "Chacun sa part" ; "Rapport pour une académie"

Avec ce troisième volume de pièces courtes, Daniel Keene nous invite à pousser la porte de son cabinet de curiosités. Il nous livre de monstrueux spécimens façonnés par une société cruelle, où la misère côtoie le sublime. L'urgence est avant tout de (se) raconter: à travers les monologues, les dialogues ou les récits, se devine la profonde solitude de femmes et d'hommes en marge. Peu de place ici pour la sensiblerie: la parole se gagne et se perd, les échanges se font à couteaux tirés. L'auteur fait éclater, sous le vernis social des apparences, les bas instincts et la violence animale de personnages tourmentés. Au cœur de cette clameur humaine, résonne le discours engagé - et parfois amusé - d'un dramaturge qui se joue de la langue sans jamais nous lasser. éditeur