Catarina et la beauté de tuer des fascistes / Tiago Rodrigues ; traduit du portugais (Portugal) par Thomas Resendes
Traduction de: Catarina e a beleza de matar fascistasLangue : français ; de l'oeuvre originale, portugais.Pays : France. Publication : Besançon : les Solitaires intempestifs, DL 2020Description : 1 vol. (105 p.)ISBN : 978-2-84681-622-9.Collection: Domaine étrangerRésumé : [Je n'en peux plus de les entendre répéter que : « Non ! Ah non, mademoiselle ! Vous ne pouvez pas dire fasciste, parce que le fascisme est un mouvement historique. Il faut être précis » ; ou bien : « Ils ne sont pas fascistes puisqu'ils croient au libre-échange » ; ou alors : « Les traiter de fascistes est une façon de radicaliser le discours et de polariser inutilement la société » ... On a déjà entendu tout ça. Pendant des années. Mais maintenant, ils sont arrivés au pouvoir. Qui sont-ils alors ? Qui sont-ils réellement ? Ce qu'ils ont toujours été : des fascistes. Et l'homme qui est attaché là-bas est leur chantre.] Cette famille tue les fascistes. C'est une tradition que tous les membres de la famille suivent depuis plus de soixante-dix ans. Aujourd'hui, Catarina doit tuer son premier fasciste. La violence a-t-elle sa place dans la lutte pour un monde meilleur ?.Item type | Home library | Call number | Vol info | Status | Date due | Barcode | |
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Livre | Théâtre Joliette | TH ROD (Browse shelf(Opens below)) | 1 | Checked out | 07.08.2024 | JOL-005094 |
[Je n'en peux plus de les entendre répéter que : « Non ! Ah non, mademoiselle ! Vous ne pouvez pas dire fasciste, parce que le fascisme est un mouvement historique. Il faut être précis » ; ou bien : « Ils ne sont pas fascistes puisqu'ils croient au libre-échange » ; ou alors : « Les traiter de fascistes est une façon de radicaliser le discours et de polariser inutilement la société » ... On a déjà entendu tout ça. Pendant des années. Mais maintenant, ils sont arrivés au pouvoir. Qui sont-ils alors ? Qui sont-ils réellement ? Ce qu'ils ont toujours été : des fascistes. Et l'homme qui est attaché là-bas est leur chantre.] Cette famille tue les fascistes. C'est une tradition que tous les membres de la famille suivent depuis plus de soixante-dix ans. Aujourd'hui, Catarina doit tuer son premier fasciste. La violence a-t-elle sa place dans la lutte pour un monde meilleur ? éditeur