CHIEN-FUSIL = Gundog

Auteur principal: Longman, Simon Publication : MAV - Maison Antoine Vitez - Centre international de la traduction théâtraleDescription : Résumé : Dans un coin déshérité de la campagne anglaise, qu’on peut très bien imaginer de situer dans un autre pays, Anna et Becky, deux sœurs qui élèvent des moutons, essaient de maintenir le cap et d’empêcher leur famille de se désintégrer tout à fait après la mort de leur mère. Une nuit, en pleine période d’agnelage, elles découvrent un homme en train de rôder dans un de leurs champs. Le menaçant d’un fusil, elles l’interrogent sur ce qu’il vient faire là. Il finit par dire qu’il s’appelle Gus Dubois, est un sans-abri et s’entend, à sa grande surprise, proposer de les aider contre le gîte et le couvert – mais sans plus. Composée de plusieurs allers-retours dans le temps, la pièce ne suit pas une ligne chronologique, mais déroule néanmoins un long fil continu en de courtes scènes s’enchaînant les unes aux autres, au cours desquelles, semés çà et là, des indices sur l’existence actuelle et passée des divers protago­nistes sont comme autant de petits cailloux permettant au spectateur de retrouver son chemin dans l’histoire : celle d’une famille de petits éleveurs attachés depuis des générations à leur terre, à leur ferme, tirant plus souvent le diable par la queue que leur épingle du jeu, que la solitude, la misère, et un dernier orage (la pièce se termine par un déluge) finiront de décimer, les condamnant à l’immobilité définitive..Sujet: Ruralité Agriculteur Eleveur
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Livre Théâtre Joliette TH LON 5 (Browse shelf(Opens below)) Available JOL-007516

5 personnages

Dans un coin déshérité de la campagne anglaise, qu’on peut très bien imaginer de situer dans un autre pays, Anna et Becky, deux sœurs qui élèvent des moutons, essaient de maintenir le cap et d’empêcher leur famille de se désintégrer tout à fait après la mort de leur mère. Une nuit, en pleine période d’agnelage, elles découvrent un homme en train de rôder dans un de leurs champs. Le menaçant d’un fusil, elles l’interrogent sur ce qu’il vient faire là. Il finit par dire qu’il s’appelle Gus Dubois, est un sans-abri et s’entend, à sa grande surprise, proposer de les aider contre le gîte et le couvert – mais sans plus.

Composée de plusieurs allers-retours dans le temps, la pièce ne suit pas une ligne chronologique, mais déroule néanmoins un long fil continu en de courtes scènes s’enchaînant les unes aux autres, au cours desquelles, semés çà et là, des indices sur l’existence actuelle et passée des divers protago­nistes sont comme autant de petits cailloux permettant au spectateur de retrouver son chemin dans l’histoire : celle d’une famille de petits éleveurs attachés depuis des générations à leur terre, à leur ferme, tirant plus souvent le diable par la queue que leur épingle du jeu, que la solitude, la misère, et un dernier orage (la pièce se termine par un déluge) finiront de décimer, les condamnant à l’immobilité définitive.