Perdre son sacsuivi de Christine[et de] Nos parents
Langue : français.Pays : France. Publication : les Solitaires intempestifs, DL 2019Description : 1 vol. (87 p.)ISBN : 9782846815895.Résumé : Extrait : «Je ferme ma bouche je suis un pot j'avais la bouche ouverte pour recevoir la vie j'ai reçu des gifles et des phrases mal construites des phrases dégoûtantes des phrases si mal faites des phrases explosées sans sens détruites par la distraction devant la laideur je vais tomber au sol par distraction attention on ne fait plus gaffe on s'enfonce attention» Dans « Perdre son sac », une jeune femme s'adresse aux passants pour dire son incompréhension face à un monde que certains estiment divisé entre «les gens qui réussissent» et «les gens qui ne sont rien». Pascal Rambert a écrit « Christine » en pensant aux acteurs et aux actrices qui dans leur loge entendent les grandes émotions, alors que eux, en scène, disent trois mots et sortent. Comme ces personnes que la vie réelle ne regarde pas et qui, en silence, se préparent à tout renverser. Dans « Nos parents », quinze jeunes actrices et acteurs parlent de leur jeunesse, de leurs parents, du passage à une vie d'adulte, à un âge où l'enfance n'est pas encore trop lointaine..Item type | Home library | Call number | Status | Date due | Barcode | |
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Livre | Théâtre Joliette | TH RAM X (Browse shelf(Opens below)) | Available | JOL-007479 |
Extrait : «Je ferme ma bouche je suis un pot j'avais la bouche ouverte pour recevoir la vie j'ai reçu des gifles et des phrases mal construites des phrases dégoûtantes des phrases si mal faites des phrases explosées sans sens détruites par la distraction devant la laideur je vais tomber au sol par distraction attention on ne fait plus gaffe on s'enfonce attention» Dans « Perdre son sac », une jeune femme s'adresse aux passants pour dire son incompréhension face à un monde que certains estiment divisé entre «les gens qui réussissent» et «les gens qui ne sont rien». Pascal Rambert a écrit « Christine » en pensant aux acteurs et aux actrices qui dans leur loge entendent les grandes émotions, alors que eux, en scène, disent trois mots et sortent. Comme ces personnes que la vie réelle ne regarde pas et qui, en silence, se préparent à tout renverser. Dans « Nos parents », quinze jeunes actrices et acteurs parlent de leur jeunesse, de leurs parents, du passage à une vie d'adulte, à un âge où l'enfance n'est pas encore trop lointaine.