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Peau d'Âne, la fête est finie

Auteur principal: Dilasser, Marie;AuteurAuteur secondaire: Soulié, Hélène;CollaborateurLangue : français.Pays : France.Description : 1 vol. (107 p.)ISBN : 9782846817219.Collection: JeunesseRésumé : Avec acidité et humour, et en reprenant les éléments iconiques du conte de Perrault ou de l'adaptation qu'en fit en son temps Jacques Demy (l'âne qui crotte des pièces d'or, l'absence de mère, le cake d'amour, la demande en mariage, les robes couleur du temps, de lune...), Marie Dilasser et Hélène Soulié tissent une fable d'aujourd'hui, une histoire où les jeunes filles sortent du silence et s'allient pour prendre possession de leur corps et de leur vie. Ici, pas de bons, ni de méchants. Pas de héros, ni d'héroïnes. Ici, deux vies, dans des réalités et contextualités différentes. Deux vies que la filiation pourrait réunir, devraient réunir. Mais que finalement la filiation va détruire. Ici pas de roi et d'infante. Mais un père coupable, et une fille qui, telle une Antigone, prend les armes. Pas celles qui ensanglantent, percent et tranchent. Celles de la parole et de l'acte poétique qui révèlent, réparent, et rendent justice..Sujet - Forme: Théâtre français pour la jeunesse Sujet: réécriture corps indépendance féminisme

12 personnages

Avec acidité et humour, et en reprenant les éléments iconiques du conte de Perrault ou de l'adaptation qu'en fit en son temps Jacques Demy (l'âne qui crotte des pièces d'or, l'absence de mère, le cake d'amour, la demande en mariage, les robes couleur du temps, de lune...), Marie Dilasser et Hélène Soulié tissent une fable d'aujourd'hui, une histoire où les jeunes filles sortent du silence et s'allient pour prendre possession de leur corps et de leur vie. Ici, pas de bons, ni de méchants. Pas de héros, ni d'héroïnes. Ici, deux vies, dans des réalités et contextualités différentes. Deux vies que la filiation pourrait réunir, devraient réunir. Mais que finalement la filiation va détruire. Ici pas de roi et d'infante. Mais un père coupable, et une fille qui, telle une Antigone, prend les armes. Pas celles qui ensanglantent, percent et tranchent. Celles de la parole et de l'acte poétique qui révèlent, réparent, et rendent justice.