Traces incertaines : mises en scène de Jean-Luc Lagarce, 1981-1995
Langue : français.Pays : France.Description : 1 vol. (142 p.)ISBN : 2846810036.Collection: Collection Mémoire[s]Dewey : 792.025, 21 ; 442, 21 ; 792, 21Résumé : La 4e de couverture indique : "Et, comme un livre dans lequel on pourrait entrer, entrer dans l'histoire comme on pénétrerait plus avant sur le plateau, aller dans le roman comme on voyagerait en pensée dans les mots et les phrases, devenir des personnages, se mettre en parade, l'idée de l'enfance, comme on irait marcher dans sa propre imagination, en explorateur et metteur en scène de sa vie, on joue, et de jouer, on dit le vrai plus vrai que le vrai. Et quand viendra l'apaisement où s'éteint le rêve et où les morts se relèvent et les acteurs saluent, et quand viendra le calme des sentiments, lorsqu'ils reprendront leur cours, restera encore, comme une légère douleur, une petite mort, le souvenir de ce temps du faux, et l'espoir inavoué que cette nouvelle vie soit le début d'une nouvelle pièce encore, l'entrée dans un autre rêve, plus grand encore que les autres et les englobant tous, à l'infini, toujours.".Bibliographie : Bibliogr. p. 139-142.Sujet - Nom de personne: Lagarce Jean-Luc 1957-1995 -- Mise en scène Sujet - Collectivité: Théâtre de la Roulotte Besançon Sujet - Nom commun: Théâtre -- Mise en scène -- Ouvrages illustrésItem type | Home library | Call number | Status | Date due | Barcode | |
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Livre | Théâtre Joliette | THEO LAG (Browse shelf(Opens below)) | Available | JOL-007115 |
Bibliogr. p. 139-142
La 4e de couverture indique : "Et, comme un livre dans lequel on pourrait entrer, entrer dans l'histoire comme on pénétrerait plus avant sur le plateau, aller dans le roman comme on voyagerait en pensée dans les mots et les phrases, devenir des personnages, se mettre en parade, l'idée de l'enfance, comme on irait marcher dans sa propre imagination, en explorateur et metteur en scène de sa vie, on joue, et de jouer, on dit le vrai plus vrai que le vrai. Et quand viendra l'apaisement où s'éteint le rêve et où les morts se relèvent et les acteurs saluent, et quand viendra le calme des sentiments, lorsqu'ils reprendront leur cours, restera encore, comme une légère douleur, une petite mort, le souvenir de ce temps du faux, et l'espoir inavoué que cette nouvelle vie soit le début d'une nouvelle pièce encore, l'entrée dans un autre rêve, plus grand encore que les autres et les englobant tous, à l'infini, toujours."