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Notre-Dame-des-Turcs : romansuivi de Autographie d'un portrait

Traduction de: Nostra Signora dei Turchi • Autografia d'un retratoNiveau de l'ensemble: Oeuvres complètes, 1Niveau de dépouillement: Notre-Dame-des-Turcs • Autobiographie d'un portraitAuteur principal: Bene, Carmelo, 1937-2002;AuteurCo-auteur: Manganaro, Jean-Paul, 1944-....;TraducteurLangue : français.de l'oeuvre originale, italien.Pays : France. Publication : P.O.L, DL 2003Description : 1 vol. (266 p.)ISBN : 2867449324.Collection: Oeuvres complètes, 1Dewey : 853, 21Résumé : "Notre-Dame des Turcs (1964) est l’unique roman de Carmelo Bene qui donnera naissance en 1968 à son film le plus célèbre. C’est la tentative de faire parler celui qui est étranger dans sa propre langue. C’est, écrite à la troisième personne, une parodie amusée et impitoyable de la vie intérieure. Souvenirs, visions d’un intellectuel originaire des Pouilles, catholique et petit bourgeois, de culture décadente et aux penchants verdiens... qui se met en scène et en images avec une forte charge d’ironie et d’auto-ironie, une délirante fureur baroque à travers les reconstitution et vision d’un sud du sud des saints (baroque « fait maison », kitsch mauresque d’un palais, cathédrale-ossuaire) dans un humour déréglé tour à tour divertissant ou inquiétant. Le point de fusion de ces moments hétérogènes se situant dans la recherche d’un absolu forcément inaccessible.".Sujet - Forme: Roman italien -- 20e siècle -- Traductions françaises

Trad. de : "Nostra Signora dei Turchi" ; "Autografia d'un retrato"

"Notre-Dame des Turcs (1964) est l’unique roman de Carmelo Bene qui donnera naissance en 1968 à son film le plus célèbre. C’est la tentative de faire parler celui qui est étranger dans sa propre langue. C’est, écrite à la troisième personne, une parodie amusée et impitoyable de la vie intérieure. Souvenirs, visions d’un intellectuel originaire des Pouilles, catholique et petit bourgeois, de culture décadente et aux penchants verdiens... qui se met en scène et en images avec une forte charge d’ironie et d’auto-ironie, une délirante fureur baroque à travers les reconstitution et vision d’un sud du sud des saints (baroque « fait maison », kitsch mauresque d’un palais, cathédrale-ossuaire) dans un humour déréglé tour à tour divertissant ou inquiétant. Le point de fusion de ces moments hétérogènes se situant dans la recherche d’un absolu forcément inaccessible."